BACS : A, SES, C, D. Niveau : bac+5
Débouchés : stables
Salaire : 100000 à 350.000Fcfa selon les boites
Son job
Recueillir, trier, analyser des informations, les transmettre au public, pour l’aider à décrypter le monde et la société dans laquelle nous vivons, voilà la tache du journaliste. Il peut exercer son savoir-faire dans des domaines et des médias divers. Derrière le terme « journaliste » se cache des dizaines de métiers. Le rédacteur : il écrit ou enregistre ses sujets sous la responsabilité d’un chef de rubrique qui anime l’ensemble du service. Ce dernier travaille à son tour sous la responsabilité du rédacteur en chef, moins connu, le secrétaire de rédaction relit, corrige coupe, et réécrit parfois les articles avant de les transmettre aux maquettistes. La précarité est grande dans le métier et on doit souvent passer par l’étape pigiste (journaliste indépendant, payé à l’article) avant de décrocher un poste stable.
Sa formation
L’école nationale supérieure des sciences et technique de l’information et la communication (L’ESSTIC) est jusqu’ici la seule école habilité à la formation des journalistes dans notre pays. Pour exercer, il faut être titulaire d’un des diplômes suivants :
1- Diplôme des sciences et techniques de l’information et la communication (DSTIC)
2- Diplôme supérieur des sciences et techniques de l’information et la communication (DSSTIC).
3- Master II/ diplôme d’études approfondies (DEA) doctorat.
Options de formation: presse écrite, radio, télévision, relations publiques, publicité, édition, documentation.
Ses qualités
> Culture générale, curiosité, esprit critique
> Bonne expression écrite et orale . > Contact facile
BACS : A, C, D, SES. Niveau : BAC+5
Salaire : 150000 à 300.000Fcfa en fonction des organes de presses Débouchés : stables
Son job
L’élection de BARACK OBAMA, le tremblement de terre en Haïti, la mort de NELSON MANDELA...le reporter est présent partout pour récolter l’information là ou elle se trouve et la mettre en scène. Charger de relater un évènement, le reporter sait retranscrire une ambiance. Souvent seul sur place, il doit être débrouillard pour dénicher rapidement les informations. Une fois son sujet dans la boite, il retrouve la condition secondaire de nombreux journalistes. Il s’agit alors d’ordonner ses données pour rédiger son sujet ou le monter pour la télévision ou la radio. Ensuite, il prépare son prochain reportage. Un métier passionnant pour lequel les places sont chères.
Sa formation
Dans notre pays, l’ESSTIC est la seule grande école d’état qui forme les journalistes. L’accès se fait par concours avec ou réserve BAC. Ensuite, votre expérience dans le métier de journalisme vous conduira lentement mais sûrement au métier de reporter.
Ses qualités
> Bonne culture générale
> Curiosité, autonomie, bon relationnel.
Autres métiers
> Journaliste reporter d’image
> Journaliste d’investigation
Bacs : A, SES, C, D. Niveau : BAC+2 à BAC +5
Salaire : 100.000 à 200.000Fcfa (intermittent ou au cachet)
Débouchés : en légère hausse
Son job
Faire en sorte qu’une émission radio ou télé se déroule sans problème, tout en intéressant et en fidélisant les auditeurs ou téléspectateurs, c’est le job de l’animateur. Cela demande travail et endurance. Il s’imprègne des sujets qu’il traite dans l’émission en se documentant et en rencontrant les éventuels intervenants. Il doit bien comprendre les données du problème afin de rendre le contenu de l’émission claire et intéressant pour son public. Enfin, il anime le débat en expliquant les thèmes abordés et leurs enjeux, en relançant ses invités et les interlocuteurs, y compris les témoins participent par téléphone.il a un mot à dire dans les choix éditoriaux de l’émission. Son influence est donc plus ou moins prépondérante selon sa personnalité, sa légitimité et le type d’émission.
Sa formation
Il n’existe pas de formation spécifique au métier d’animateur radio-télé. Le plus important est de se sentir à l’aise devant un micro et de posséder une bonne culture générale. Le mieux est de cumuler des expériences, dans le cadre des stages. Cependant, il est possible de se frotter au monde et à la technique des médias par différentes voies : à l’université, vous pou-
vez suivre la filière art du spectacle, lettres modernes françaises ou entrer à l’ESSTIC ou se former sur le tas.
Ses qualités
> Dynamisme
> Sens de la communication
> Capacité d’adaptation
Bacs : A, SES, C, D. Niveau : bac +5
Salaire : 300.000 à 500.000 en fonction des compagnies
Débouchés : en baisse
Son job
Gilet de sauvetage autour du cou, masque à oxygène sur le nez... ces célèbres démonstrations de sécurité sur chaque vol par l’hôtesse de l’air ou steward ne sont que la partie émergé de l’iceberg concernant le travail des personnels navigants commerciaux (PNC).
La sécurité, c’est certes leur crédo ! Ils ont reçu une formation adaptée aux appareils dans lesquels ils officient et sont capables de réagir en cas de problème. Avant le vol, ils passent tout en revue. La plupart de leur temps est consacrée à assurer le confort des passagers ou à vendre des produits hors taxes proposés par la compagnie...avec le sourire. Les hôtesses doivent monter une grande disponibilité : de 60 à 70 heures de vol par mois, reparties sur vingt jours, des journées qui commencent à 5 heures du matin et dont l’heure de fin dépend de la météo et le trafic. Avec l’ancienneté, ils peuvent choisir leur service : 1ere classe, classe d’affaires ou économique. Puis, ils peuvent devenir chef de cabine principal, et encadrer une équipe en vol ou obtenir un poste au sol.
Sa formation
La formation est assurée par les compagnies elles mêmes et chacune à ses exigences. Généralement, il faut être majeur, titulaire au moins du Bac, en parfaite condition physique, doté d’une bonne vue, maîtriser l’anglais voire une deuxième langue étrangère. En passant, l’armée de l’air recrute aussi le personnel navigant.
Ses qualités
> Bonne présentation
> Sens du service et disponibilité
> Curiosité, sang froid, rigueur