Bacs : C, D, F2, F3, F5, MEM

Niveau : CAP, BEPC, Bac+3 à bac+5

Salaire: 80 OOOfcfa/mois pour les soldats et 170 000fcfa pour les lieute­nants en début de carrière.

Débouchés : dépend de l’état. (Intégration directe à la fonction publique).

 

Son job :

Incendie, malaise, accident de la route, pollution, sauvetage...Entre interventions et actions de prévention, les pompiers n’ont guère le temps de se poser ! A la tête de chaque groupe officie un lieutenant. Cet officier en­cadre les sapeurs pompiers, dirige les interventions et en est responsable : qu’il participe aux opérations, ou qu’il ait délégué à un chef d’agrès. Car le lieutenant ne décale pas à la moindre alerte. Les interventions sur le terrain ne représentent que 30% de son travail. Manager de la caserne, il s’occupe des plannings, de la paperasse, et de l’information de ces collègues. Dans le domaine de la prévention, il participe à des commissions de sécurité, qui vérifie la conformité aux normes de sécurité d’une salle de spectacle, ou d’une grande surface. Il peut aussi être consulté pour les projets de cons­truction : ainsi, il prodiguera des conseils techniques sur la largeur et la position des voies d’accès en cas d’incendie, des issues de secours, etc. Il participe aussi à la gestion des risques chimiques et assure aussi des gardes d’une durée de 24 heures en générale, suivie d’un repos de 24 heures.

 

Sa formation

Pour devenir sapeurs ou lieutenant de pompiers, il vous faut être âgé(e) de 18 à 30 ans, mesurer au moins 1,60m pour les femmes, 1,65m pour si vous êtes un homme. Ensuite, présenter les concours de l’armée en générale pour les soldats, et celui de l’EMIA pour les officiers supé­rieurs...C’est au sortir de l’école de formation que les meilleurs font le choix de leur corps de métier. Les diplômes scientifiques dans cette formation sont les bienvenus.

 

Ses qualités :

>    Excellente condition physique

>    Sang froid

>    Efficacité et rapidité

Bacs : généraux

Niveau : bac+3 à bac+5

Salaire : 180 000 avec avantages sur le terrain.

Débouchés : modérés (dépend de l’état)

 

Son job :

Le commissaire de police cordonne et suit le travail de recherche et d’investigation de ses officiers. Mais, en dehors des gros coups, il a peu de temps d’aller sur le terrain. Son job à lui : faire tourner le commissariat. L’officier de police quant à lui, est l’homme du terrain, celui qui mène l’enquête, commande les opérations, participe aux planques, procède aux interpellations, assure filatures et rondes...l’officier de police partage ainsi son temps entre les interpellations et les enquêtes dans son bureau au commissariat. Il appartient au corps de commandement et d’encadrement de la police nationale, et a donc le rôle de manager envers les inspecteurs et les gardiens de la paix de son service. Sa mission varie selon qu’il tra­vaille pour le service de la sécurité publique, la police judiciaire, les compa­gnies républicaines de sécurité, la police des frontières, l’inspection géné­rale de la police nationale ou encore le service de protection des diplo­mates et des hautes personnalités.

 

Sa formation

De sérieuses connaissances en droit (au moins une licence et une bonne formation physique sont les deux sésames du concours de l’école nationale supérieure de police (ENSP). La formation des commissaires et officiers durent deux ans. Elle est constituée des enseignements théoriques et pratiques. A l’issue de cette formation, vous êtes stagiaire durant 1an, puis titularisé.

 

Ses qualités

>     Disponibilité

>     Sang froid et réactivité

Bonne condition physique

Bacs : toutes séries Niveau : bac+5

Salaire de base : 170 000 en début de carrière (grade de sous lieutenant)

Débouchés : modérés (dépend de l’état)

 

Son job

Sous cette appellation se cachent de dizaines de métiers. Seul point commun : le rôle d’encadrement. D’un côté, les navigants. Ce corps com­prend principalement des pilotes de chasse, de transport ou d’hélicoptère, et des navigateurs officiers systèmes d’armes. Ces derniers font équipe avec les pilotes à qui ils communiquent les données et les instructions né­cessaires, grâce à l’utilisation de techniques de pointe (ordinateurs de bord, radars, données fournies par satellites). Les « non navigants » eux, sont les plus nombreux : pour un ilote en vol, on compte 40 à 60 spécialistes au sol. Il s’agit des officiers mécaniciens, les officiers des bases de l’air, qui sont chargés du contrôle de la circulation aérienne, de la protection et de la dé­fense de la base, des renseignements et des infrastructures. C’est le corps le plus hétéroclite, car il comprend aussi bien des fusiliers commandos que des contrôleurs aériens, des spécialistes du renseignement que des ges­tionnaires. Enfin, ce corps compte aussi les commissaires de l’air, officiers administrateurs qui exercent des fonctions logistiques, juridiques et finan­cières. Les recrutements se font chaque année au mois de novembre.

 

Sa formation

Titulaire d’un bac+1, généraliste ou technicien, vous pouvez présenter le concours de l’EMIA qui forme en général les officiers supérieurs de l’armée. Au sortir de l’école, les meilleurs candidats choisissent le corps où ils souhaitent exercer.

 

Ses qualités

>      Mobilité et dévouement

>      Sens du travail en équipe

>      Résistance physique et rigueur

Les métiers de la défense et de la sécurité nationale : un titre tout indiqué pour qui désire assurer la sécurité du territoire et servir ses intérêts ! Car le recru­tement dans l’armée et la gendarmerie ne connaît pas de crise : 8000 emplois sont à saisir chaque année. Avec de nombreuses spécialités répondant aux technologies les plus modernes. Chaque année, au moins 5000 jeunes sont intégrés en tant que militaire de rang ou sous-officier, la relève des générations partant à la retraite est assurée. Même si les diplômes techniques restent appréciés dans certaines spécia­lités, le niveau d’entrée s’élève en raison de la technicité des métiers. Quel que soit le corps de l’armée choisi, l’ascenseur social fonctionne bien. Un militaire de rang, un gendarme ou un gardien de la paix a toutes les chances de grimper dans la hiérarchie par le biais des concours internes et des formations qualifiantes.

Nous vous invitons ici à découvrir les différents métiers autour de six grandes familles :

 

1) L’armée de terre

Métiers : Chef d’équipe de risques technologiques, chef de char, , expert en systèmes d’information et télécommunications, grenadier-voltigeur, pilote de transport ou d’hélicoptère, spécialiste drones, technicien de maintenance en arme­ment, technicien en maintenance des réseaux informatiques, tireur missile, médecin militaire...

2) L’armée de l’air

Métiers: Contrôleur de la navigation aérienne, contrôleur de la défense aérienne, fusilier commando, mécanicien avionique, pompier de l’air, navigateur officier systèmes d’armes, pilote de chasse, pilote de transport, spécialiste des systèmes de détection et traitement de l’information...

3) La marine nationale

Métiers: Détecteur anti-sous-marin, fusilier marin, manoeuvrier, méca­nicien d’armes, navigateur timonier, pilote de l’aéronautique navale, plongeur démi­neur, spécialiste énergie nucléaire, médecin militaire...

4) La gendarmerie nationale

Métiers: Cavalier de la garde présidentielle, gendarme en unité de re­cherche, gendarme mobile, pilote de voiture d’intervention, enquêteur judiciaire

5) Les sapeurs pompiers

Métiers: Agent de renseignement opérationnel, sapeur-pompier, ambu­lancier, technicien ou mécanicien automobile...

6) La police nationale

Métiers: gardien de la paix, inspecteur, officier, commissaire, enquêteur judiciaire, technicien de la police scientifique, agent de renseignement opérationnel.

Réussir son concours

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