Bacs : C ou D. Niveau : bac+12.

Débouchés : importants et en hausse

Salaire : 400.000 à 700.000Fcfa en fin de carrière.

 

Son job

L’anesthésiste-réanimateur est celui qui vous endort pour vous per­mettre d’échapper à la douleur d’une opération. Mais son travail commence bien avant, par la visite préopératoire, où il évalue les risques éventuels d’une anesthésie et explique au patient le déroulement de l’intervention et le réveil, le choix du protocole antidouleur, etc. il travaille dans les services de réanimation chirurgicale, post-opératoire, orthopédiste, abdominale, ou il surveille les signes vitaux et prend en charge les malades en réanimation des différents hôpitaux du pays.

 

Sa formation

Pour exercer cette profession, il faut présenter le concours d’entrée en première année de médecine sanctionnée par une licence de santé. En­suite vous présenterez un second concours pour accéder au 2nd cycle. A l’issue de ce second cycle, vous présentez un 3eme concours pour choisir la spécialité anesthésiste-réanimation. La spécialisation dure 4 ans.

 

Ses qualités

>     Sang-froid et rapidité

>     Capacité d’analyse

Bacs : C ou D. Niveau : bac+10.

Débouchés : importants, en hausse 

Salaire : 200.000 à 400.000Fcfa (plus cabinet).

 

Son job

Donner la vie, permettent aux personnes qui connaissent des pro­blèmes de stérilité d’avoir des enfants... cela fait pleinement partie de la mission du gynécologue. En poste en hôpital ou en clinique, il assure le suivie des femmes enceintes jusqu’à l’accouchement, qu’il ne prend en charge qu’en cas de grossesse à risque ou de césarienne. Il intervient à toutes les étapes de la vie des femmes. Il aborde avec elles des sujets comme la prévention des IST, les moyens de contraction, etc. en cas de grossesses non désirées, il propose des solutions. Par ailleurs, le gynéco­logue dépiste les IST et les soignent. Il assure un suivi régulier permettant de prévenir les cancers spécifiques de la femme.

 

Sa formation

Pour devenir médecin spécialiste en gynécologie, il faut d’abord obtenir un doctorat en médecine générale (bac+8), ensuite, suivre une spécialisa­tion de 2 ans sanctionnée par l’obtention d’un diplôme de médecine spécia­liste en gynécologie. Vous pouvez choisir travailler en même temps par l’état ou pour vous-même.

 

Ses qualités

>    Psychologie

>    Capacité d’écoute

>    Solidité nerveuse et physique

Bacs : C ou D. Niveau : bac+7.

Débouchés : modérés ou stables

Salaire : 300.000 à 500.000Fcfa (plus cabinet).

Son job

Cette profession est i’une des plus complètes puisque le chirurgien dentiste fait à la fois des soins médicaux, des actes à visée esthétique, du la chirurgie, de la radiologie, de la prévention... les efforts de prévention améliorent l’état de notre bouche, mais il va falloir assurer des soins à uno population de plus en plus nombreuses, et remplacer les dentistes qui par tent en retraite. Le nombre de postes proposés au concours augmente. Tous les chirurgiens-dentistes exercent leur métier en libéral (pour leur compte - cabinet privé).

Sa formation

Le premier cycle des études d’odontologie (2 ans) la 1ere année est conditionnée par la réussite aux concours et est commune aux futurs mé­decins, dentiste et sages femmes. La pratique occupe une grande place : il faut suivre des stages cliniques dans les centres de soins dentaires. A l’issue du second cycle, vous choisirez entre un 3eme cycle long (3 ans) ou court (1 an). Le cycle court est sanctionné par le diplôme d’état en chirurgie dentaire. Il permet d’exercer en libéral. Vous pouvez continuer en préparant en quatre ans, un diplôme d’études spécialisées en chirurgie buccale, ou un certificat d’études cliniques spéciales mention Orthodontie. Le cycle long conduit à une carrière hospitalo-universitaire.

 

Ses qualités

>     Rigueur

>     Minutie et dextérité

>     Diplomatie, tact et psychologie.

Bacs : C, D, ESF, Cl Niveau : Bac+3

Débouchés : en hausse

Salaire : à partir de 150 OOOfcfa/mois, mais il vaut mieux se mettre à son propre compte en créant un cabinet conseil pour les consultations.

 

Son job

Un manque de fer, quelques kilos de trop, une convalescence diffi­cile ? Tout cela intéresse la diététicienne. Que ce soit en libérale, à l’hôpital ou dans la restauration, il conseille et élabore des menus adaptés aux pro­blèmes de chacun. Son crédo : l’équilibre. Il peut travailler dans les cli­niques, les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise ou pour son propre compte. Il veille à la qualité nutritionnelle et hygiénique des repas, 'applique la législation en matière d’alimentation et participe à la prévention des intoxications alimentaires. Il peut aussi travailler dans l’industrie agroa­limentaire, la recherche et la communication.

 

Sa formation

Deux diplômes permettent d’accéder à la profession.

-     Le BTS diététique est accessible après un bac D, C, Cl, ou une an­née d’étude en chimie.

-     Le DUT génie biologique, option diététique.

-     Une licence pro aliments et santé, sécurité alimentaire, gestion de la qualité des produits agroalimentaires

-      Une formation complémentaire, telle conseiller en qualité et en ges­tion nutritionnelle, management de la qualité et de la sécurité ali­mentaire

-      Un DU nutrition et diététique de l’adulte, sport et nutrition.

 

Ses qualités

>    Capacité d’écoute

>    Pédagogie

>    Tact

Réussir son concours

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